un dur au cœur tendre,

Après une vie heureuse et bien remplie, est venu le moment de nous dire adieu. Sous tes airs ronchons, se dissimulait une grande tendresse. A trois moins tu étais condamnés, notre opiniâtreté associée aux bons soins du véto, t'ont permis de t'en sortir. A l'aube de tes treize ans, tu rejoins ta mère adoptive (Je me souviens du jour où en promenade en forêt, elle a fait demi-tour pour te montrer comment enjamber le groupe d'arbres devant lequel tu bloquais), les autres avec les qu'elles tu jouais au matcho.