LA
VALLEE DES CATTLEYAS |
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Du loup au chien, domestique
puis familier, de nos jours.
Avec l'autorisation de Michel Chanton, Ethologiste
MACDONALD avance l’hypothèse selon laquelle certains loups, présentant plus de caractères néoténiques que les autres auraient pu s’approcher de l’Homme et être approchés par lui. Ce rapprochement, pour des causes probablement utilitaires, l’Homme étant, à cette époque, comme le loup, chasseur, et cette association avec certains loups aurait permis la traque et la capture de plus gros gibiers. De nombreux éthologistes et biologistes situent ce rapprochement vers la fin du dernier âge glaciaire, - 20.000 ans. Ce n’est pas la seule hypothèse, R. COPPINGER avance celle d’une espèce apparentée au loup, au chacal et au coyote ; à ce jour aucune des différentes hypothèses concernant les origines du chien n’est démontrée. Mais les découvertes archéologiques attestant de la présence de chiens au sein de groupes humains s’appuient sur d’indiscutables preuves : - En Israël, sur le site d’EÏN MALLAHA, on a retrouvé le squelette d’une femme âgée couchée près d’un chiot, la main posée sur le corps de l’animal. Datation : environ 12.000 ans avant JC. - En Iraq, à PELAGAURA, on a découvert une caverne contenant les traces d’un campement humain ainsi que les restes d’un chien. Date : environ 12.000 avant JC. - En Allemagne, à OBERKASSEL, près de Bonn en Rhénanie, dans une grotte, il s’agit d’une double sépulture contenant le corps d’un homme assez âgé, celui d’une jeune femme et les restes d’un canidé. Date : environ 12.000 avant JC. - En Allemagne également, en THURINGE, la “kniegrotte” (“grotte du genou”), renfermait les restes conjoints d’hommes et de chiens. Date : environ 11.000 avant JC. - En TCHECOSLOVAQUIE, l’étude des sédiments d’une grotte révéla la présence d’un chien domestique. Date : environ 10.000 avant JC. - Aux Etats-Unis, dans l’IDAHO, les hommes occupaient la grotte du Jaguar, les chiens aussi. Date : environ 8.300 avant JC. - En SCANDINAVIE (Skateholm), plusieurs cimetières communs, Hommes/Chiens ont été mis à jour, datant de - 6.000 à - 5.700 avant JC. On relève l’existence de tombes contenant des restes humains proches d’autres tombes contenant des restes de chien, également des sépultures communes, dont celle d’une femme enterrée avec un chien posé en travers de ses genoux. En fait, entre - 12.000 et - 6.500 avant JC, on a découvert des traces de campements humains, de sépultures humaines avec les restes de dépouilles de chiens, des peintures rupestres associant l’homme et le canidé et ce presque partout dans le monde / dans le Yorkshire, en Angleterre, en Allemagne, au Danemark; en Anatolie (Turquie), en Russie, en Australie, en Chine.... On a même retrouvé en Iran des petites sculptures de chiens à queue bouclée dont on estime la réalisation à environ 6.500 ans avant JC. Dans ces pratiques funéraires, rien ne permet de trancher entre la cohabitation/association Homme/Chien et le sacrifice du chien pour accompagner le mort. C’est dans cette période de - 12.000 à - 6.500 avant JC que le chien semble être devenu une espèce à part entière, c’est le Canis familiaris décrit par Linné . En ne négligeant aucune des hypothèses concernant les origines du chien, on
constate une évolution de son statut d’animal utilitaire (chasse, probablement
aussi alerte annonçant l’approche ou la menace d’un grand prédateur) vers
celui d’animal domestique chargé d’accomplir des tâches au service de l’homme,
rôle qu’il tient encore, garde, chiens guides, de recherches, de berger. Resté
animal domestique (de dom, domus, la maison, avec extension aux différentes
constructions appartenant à la même famille humaine), le chien familier s’est
trouvé admis au sein de la famille, la grande majorité des propriétaires de
chien considérant que le chien fait partie de leur famille. Les contraintes imposées au chien familier. L’hypothèse de MACDONALD est crédible, et c’est une des explications
avancées concernant l’origine du chien. Hubert MONTAGNER dirigeant un groupe
de recherches sur “les fondements théoriques de la relation Homme/Animal”,
avance l’observation suivante : “l’explication de MACDONALD ne tient compte
que du point de vue des humains qui auraient adopté de façon sélective les
loups présentant des caractères néoténiques. L’homme va créer des champs sensoriels et interactifs qui vont éteindre certains comportements, en renforcer ou réorienter d’autres, ou les inscrire dans de nouvelles significations et en modifier le sens, ou encore en faire émerger qui étaient enfouis ou inhibés, en faisant apparaître d’imprévisibles. Les déceptions, les peurs, les satisfactions et les déplaisirs de l’Homme vont modifier, remodeler ou éteindre une partie plus ou moins importante des comportements antisociaux de l’animal, alors que ses attentes, ses satisfactions et ses phantasmes vont sublimer des comportements qu’il perçoit comme socialement positifs. La phénotype comportementale des animaux associés aux humains apparaît ainsi comme le résultat de la triple contrainte de leur génétique, de la perception qu’ils ont de l’Homme, et de la pression modelante qu’il subit de celui-ci et qui contribue fortement à la pression de sélection sur l’espèce et ses différentes formes” - fin de citation -. Pour exemple, le comportement alimentaire, passant chez le Chien par la prédation, est sévèrement contrôlé par l’Homme. De même pour le comportement sexuel qui ne s’exprime (quand il s’exprime !) qu’avec l’accord de l’Homme. Ajoutons à cela les situations de double contrainte, fonction des attentes du propriétaire du chien, comme le fait d’être dissuasif mais avec l’interdiction de menacer.... Ajoutons également les effets de l’anthropomorphisme et de l’anthropocentrisme qui font que ces chiens sont souvent perturbés par le fait de vivre des situations auxquelles ils ne peuvent trouver de réponse adaptée.... Souvent, d’ailleurs, il n’y en a pas, situation particulièrement anxiogène pour un animal, auquel rien ne peut être “expliqué” en l’absence d’un langage commun. Autres exemples, la sanction pour un évènement passé depuis plusieurs heures, la confusion entre comportement de soumission et expression d’une culpabilité que le chien nous paraît bien incapable d’éprouver. Le chien familier est d’abord un animal captif, ce qui est généralement “oublié” par ceux qui s’y intéressent. Cette situation de captif étant compliquée par le statut, qu’on lui accorde, de “membre de la famille”. Le Sénat Romain attribuait la distinction de “bon maître” aux citoyens Romains traitant bien leurs esclaves, et nous nous souvenons d’une revue qui paraissait il y a quelques années, titrée “les cahiers du bon maître” ! Confusions entre les notions “d’obéissance, de hiérarchie, d’action en situation d’autorité, de soumission”. A - L’obéissance est décrite comme le fait de “se soumettre à ce qui est commandé”. En sociologie c’est le “changement d’une croyance ou d’un comportement en réponse à la pression émanant d’une figure d’autorité”. Le psychosociologue américain S. Milgram a mis en évidence l’importance de “la soumission à l’autorité”. Ses expérimentations ont démontré que des individus, sous la pression reconnue comme légitime (ou imposée par la violence) d’une autorité, peuvent être amenés à commettre eux-mêmes des actes violents allant jusqu’à donner la mort, et se disculper en invoquant la nécessité d’obéir devant laquelle ils se trouvent. Et précisément, la violence, la mutilation, et même la mise à mort, du chien sont socialement tolérées, sous la seule réserve de respecter les formes socialement admises. Tuer un chien est répréhensible, mais placer un vétérinaire devant l’obligation de le faire, en évoquant le danger, réel ou imaginaire, qu’il pourrait représenter, est licite. De même l’obligation d’obéissance, en quelque sorte gratuite, exigée d’un chien pour le simple amusement de son propriétaire est considérée avec la plus grande indulgence, voire une certaine admiration, ce qui est bien ce que recherche le “maître”. Dans cette relation en situation d’autorité, certaines motivations de
l’Homme, au moins pour une part, ne sont pas toujours conscientes. Le dressage
du chien pourrait n’être conduit qu’en utilisant des renforcements positifs,
mais dans les milieux où il se pratique, comme chez le propriétaire de
l’animal, c’est la sanction, à tout le moins la menace, qui est, le plus
souvent, mise en pratique. En voici un exemple, très récent, tiré d’un
magazine consacré au chien, ou plutôt à ses “utilisateurs” : B - Hiérarchie : Selon Jacques GOLDBERG, éthologiste, directeur du laboratoire de sociologie animale et professeur d’anthropologie, “Les rapports de dominance et de hiérarchie, contribuent, pour l’essentiel, à la constitution de l’organisation et des structures des sociétés “ Chez les canidés, la hiérarchie est une composante sociale importante, elle contribue à la stabilité du groupe et à sa survie. Chez le loup, ancêtre du chien, les déplacements et les activités de la meute sont contrôlés par un individu ALPHA dont l’influence inhibitrice réduit de manière importante les combats au sein du groupe. ALPHA a, le premier, accès à la nourriture, généralement le produit d’une chasse en groupe, il contrôle l’espace et il en dispose par priorité. Il s’agit là d’une notion capitale, très souvent mal interprétée. La soumission par abandon de l’espace résulte aussi bien de la peur ressentie par l’animal que de l’effet de l’autorité de l’homme, sans que cela implique l’existence d’une relation hiérarchique. C - Autorité : Définie comme le “pouvoir de décider ou de commander, d’imposer sa volonté à autrui”, cette notion ne s’applique qu’aux sociétés humaines, on ne saurait dire d’un animal qu’il agit en situation d’autorité. Certaines personnes possèdent un ensemble de caractéristiques contribuant à imposer un ascendant aux autres. L’origine de cet ascendant se trouve souvent dans l’éducation, dans la construction de la personnalité. Plus généralement l’autorité est confortée par un système dont les symboles sont choisis pour signifier le “rang”, le pouvoir; c’est le cas de systèmes nettement hiérarchisés comme l’armée, une société commerciale, le système judiciaire au sein duquel on constate que l’organisation de l’espace, signifiante en elle-même, inclut l’attribution de postes d’autant plus surélevés que le rang hiérarchique est lui-même élevé; ainsi de l’organisation d’une salle de tribunal. Il est surprenant de constater que cette notion d’organisation spatiale incluant la dimension de hauteur est utilisée dans les milieux du dressage (le chien ne doit pas être placé “plus haut” que vous, car il vous domine !) et nous avons même eu la surprise de l’entendre énoncée par un vétérinaire lors d’une consultation filmée en école vétérinaire : “le chien “dominant” monte sur quelque chose (sic) pour dominer”. Quid, dans ce cas, des chiens vivant dans la savane ? Dans l’espèce humaine, à la différence de la plupart des espèces sociales, l’individu détenteur de l’autorité n’est pas nécessairement le plus inhibiteur en lui-même, et l’exercice du pouvoir n‘est possible que dans et par le système et ses artifices. D - Soumission : L’obéissance, corollaire de l’action en situation d’autorité, est une expression de la soumission sans être, pour autant, la représentation d’une hiérarchie. C’est la principale cause d’interprétation erronée d’un comportement de soumission chez le chien familier. Le chien produisant une réponse adaptée, de soumission ou de fuite, face à un être humain menaçant ou violent, ne reconnaît pas nécessairement celui-ci comme ALPHA. Et c’est cependant la croyance probablement la plus répandue, entretenue par des lectures sans fondement scientifique, des procédures empiriques en vigueur dans les milieux où se pratique le dressage du chien. La peur : Le besoin le plus élémentaire, commun à tous les êtres vivants est la sauvegarde de l’unité de l’organisme psychologique : la conservation de la vie. La peur est une émotion d’importance vitale, elle contribue grandement à nous maintenir en vie. Cosnier comme Ekman et Friesen précise la brièveté de l’émotion peur; la nécessité d’une réponse adaptative à la peur implique une réponse rapide. Cyrulnik démontre la valeur d’apprentissage de la peur. Que la menace soit produite dans une relation hiérarchique (interaction intra-spécifique) ou pour obtenir l’obéissance (interaction inter-spécifique), c’est la peur qu’éprouve le chien qui lui fait adopter une attitude de soumission. Les postures, mimiques, vocalises étant les mêmes dans les deux cas, ce qui explique bien des interprétations erronées et des confusions quant à l’identification du déclencheur. De plus, le propriétaire d’un chien, tout en accordant à celui-ci le statut de membre de la famille, n’envisage généralement pas un instant qu’il puisse ne pas être ALPHA pour son chien E - De la hiérarchie : Les activités d’un groupe de chiens libres sont organisées en fonction d’un système hiérarchique décrit par Scott, Whitney, Fox, Serpell, Hediger, Goldberg et al. comme suit : - .... au sein d’un groupe, les mécanismes de dominances entre individus régissent la vie sociale et créent des hiérarchies ... (Goldberg) - .... Chez le loup (Goldberg) la plupart du temps l’animal Alpha est un mâle.... l’Alpha conduit la meute, dirigeant surtout ses déplacements... C’est aussi l’Alpha qui sépare les combattants et réduit l’agressivité entre membres de la meute. Il est le premier à se nourrir..... L’importance d’Alpha est telle qu’en l’absence de chef les affrontements deviennent si nombreux que l’existence même de la meute se trouve alors en péril. -
Où le chien familier retrouve-t-il cela dans un groupe humain auquel il est
incorporé ? De plus, pour lui, il y aurait alors plusieurs Alpha, de nombreux
membres de la famille l’obligeant à se soumettre. Ce qui ne ressemble en rien
à la hiérarchie chez le chien sauvage. F - Hiérarchie et territoire : La défense du territoire est d’abord assurée par l’action d’Alpha, appuyé par le groupe si nécessaire. Comment le chien familier retrouverait-il cette structure ? cela sans qu’Alpha soit nécessairement un mâle ? avec un territoire fluctuant ? avec des intrusions fréquentes d’autres “mâles Alpha” ? parfois accompagnés de chiens éventuellement plus “Alpha” que leur “maître” ? Le territoire, au sens éthologique, est constitué par une portion du biotope sur laquelle un individu ou un groupe peut se nourrir, s’abriter, être assez en sécurité pour se reproduire. Le chien familier, animal captif, dispose d’un “espace” (et non d’un territoire) espace qui lui est concédé par l’homme et qui peut fluctuer, dans ses dimensions comme dans sa localisation, selon la volonté de l’homme. Autres exemples de la dépendance quasi totale du chien familier dans l’expression des comportements de base, vitaux : Comportement exploratoire : D’importance capitale pour le chien, l’activité de flairage est restreinte en fonction de ce qu’autorise le propriétaire du chien, qui va souvent interdire à son animal, en promenade, de flairer une trace d’urine, ou des excréments laissés par un autre chien et ceci en fonction de sa propre répugnance. - L’identification par le flairage de la zone génito-anale est lui aussi réprimé par le propriétaire du chien, généralement pour des raisons de convenances sociales; or les travaux de FILIATRE, MILLOT, ECKERLIN ont démontré que le chien “identifie individuellement”, par le flairage de cette zone. Les paumes de mains et la plante des pieds fournissant au chien des informations relatives à l’état émotionnel du sujet flairé et là aussi le propriétaire du chien restreint, voire réprime cette activité. Comportement alimentaire : La nourriture du chien familier dépend aussi de l’homme et n’est pas le produit d’un comportement de prédation. De même en ce qui concerne le comportement sexuel. Quel “territoire” aurait-il donc à “défendre”? Comportement veille sommeil : Dans ce domaine aussi, c’est la volonté du propriétaire du chien qui va imposer son rythme aux activités et aux périodes de repos du chien familier. - On peut ajouter les situations de contentions auxquelles le chien familier doit se soumettre, bien qu’imposées par d’autres individus du groupe que l’hypothétique Alpha. - Considérant chaque comportement composant l’éthogramme du chien, associé à ses structures sociales, signifié par des postures, des mimiques, des vocalises, des marquages urinaires, des claquements de dents, tous signaux que l’homme est impuissant à reproduire, sur quels arguments pourrait-on appuyer la théorie de l’identification d’une structure hiérarchique canine dans un groupe humain?. Quelles sont les communications scientifiques, les recherches, décrivant le comportement aberrant qui consisterait, pour le chien, à confondre l’espèce humaine et la sienne propre? L’erreur majeure est bien d’interpréter les comportements du chien familier en se fondant sur les comportements de l’espèce - éthogramme - et en “oubliant” la situation de captif qui est celle du chien familier. Ces hypothèses, et leurs justifications, ont été soumises à plusieurs groupes d’étudiants, dans le cadre d’une formation de comportementaliste. Deux groupes ont pu être observés: -
L’ un composé d’étudiants possédant ou non un chien mais ayant comme
caractéristique commune d’ignorer tout, ou presque, des milieux de dressage,
d’élevage du chien, des expositions et compétitions. Dans ce premier groupe,
ces notions nouvelles d’absence de territoire et de hiérarchie entre la
famille et le chien ont été accueillies sans difficultés et admises par le
plus grand nombre. Une objection à été présentée : l’auteur considérant comme contradictoire cette théorie de l’inexistence d’un système hiérarchique inter-spécifique qui serait compris par le chien comme celui d’un groupe exclusivement canin et l’efficacité des conseils donnés aux consultants en ce qui concerne l’établissement d’une hiérarchie famille/chien. Cependant il n’y a pas contradiction puisque ces conseils, donnés par un comportementaliste recevant des consultants, aboutissent au contrôle de l’espace et à son utilisation par le propriétaire du chien. On se trouve de ce fait dans le cadre d’une situation duelle de dominance au profit de l’homme, ce qui n’autorise en rien à généraliser pour conclure à l’existence d’une hiérarchie inter-spécifique. (cf. le paragraphe 1 de ce texte: “confusions entre les notions “d’obéissance”, de “hiérarchie”, d’action en situation “d’autorité”, de “soumission”). Reste à évaluer les réactions de propriétaires ou amateurs de chiens, influencés, non par l’appartenance à une structure (au sens philosophique) mais par des lectures d’ouvrages souvent assez fantaisistes ou de magazines dénués pour la plus grande part de fondements scientifiques mais riches en vocabulaire anthropomorphique évoquant, entre autres curiosités, des chiens considérés comme “dominants” alors qu’ils sont observés seuls, ou même des chiens “délinquants” (au sens du film “vol au-dessus d’un nid de coucous”, dans lequel le “perturbateur” se voit neutralisé par une action sur son cerveau lui-même, ce qui n’est pas sans lien avec certaines thérapeutiques actuelles !). Et l’inévitable “chef de meute” dans cette littérature pèse d’un poids considérable car admettre qu’il ne peut y avoir un système hiérarchique perceptible au chien dans un milieu exclusivement humain équivaut à accepter de perdre ce statut flatteur, hypothèse difficilement envisageable par nombre de propriétaires de chien et surtout “d’utilisateurs” de celui-ci !. publication autorisée par Michel CHANTON éthologiste»
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